Le marché des machines industrielles d’occasion

Le marché des machines industrielles d’occasion n’est plus imperméable au numérique. A la base très traditionnel, organisé autour du réseautage et du bouche à oreille, le marché des machines de seconde et troisième main s’est progressivement ouvert à internet, pour le plus grand plaisir des professionnels qui peuvent désormais satisfaire leurs besoins en machines agricoles, industrielles et de construction à moindre coût.

Si l’explosion des transactions autour des machines industrielles d’occasion ne fait pas les affaires des constructeurs, elle arrive à point nommé pour les professionnels, mais aussi pour la planète : réalisation d’importantes économies et diversification des possibilités d’investissement pour les agriculteurs, les industriels ou encore les entreprises de BTP, puis réduction des mises en rebut des biens d’équipement encore opérationnels et régulation de la production des machines industrielles neuves pour mieux protéger l’environnement.

Jusqu’à 50% d’économie sur le prix d’une machine industrielle neuve

Les réductions budgétaires sont la première motivation qui pousse les professionnels à se tourner vers le marché de l’occasion.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’investissement n’a pas forcément un objectif d’expansion. Il est même parfois nécessaire à la survie des collectivités agricoles et des PME. C’est pourquoi l’opportunité du marché d’occasion peut sauver des projets et des emplois. Il y a une petite décennie, le marché des machines industrielles d’occasion ne disposait que d’un seul débouché organisé : la foire professionnelle de Karlsruhe, en Allemagne. La clientèle de cet évènement annuel est majoritairement constituée de PME européennes et de collectivités agricoles qui n’ont pas les moyens de financer des projets d’investissement basés sur du matériel neuf. Daniel Tressères, organisateur de l’évènement et spécialistes des équipements de l’industrie métallurgique, explique à nos confrères des Echos.fr que « le matériel d’équipement d’occasion coûte entre 50 et 60% du neuf ».

Des économies substantielles qui incitent un peu plus les professionnels à accroitre leur parc de machines pour améliorer leur productivité.

Les réductions budgétaires sont la première motivation qui pousse les professionnels à se tourner vers le marché de l’occasion. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’investissement n’a pas forcément un objectif d’expansion. Il est même parfois nécessaire à la survie des collectivités agricoles et des PME.

C’est pourquoi l’opportunité du marché d’occasion peut sauver des projets et des emplois. Il y a une petite décennie, le marché des machines industrielles d’occasion ne disposait que d’un seul débouché organisé : la foire professionnelle de Karlsruhe, en Allemagne. La clientèle de cet évènement annuel est majoritairement constituée de PME européennes et de collectivités agricoles qui n’ont pas les moyens de financer des projets d’investissement basés sur du matériel neuf.

Daniel Tressères, organisateur de l’évènement et spécialistes des équipements de l’industrie métallurgique, explique à nos confrères des Echos.fr que « le matériel d’équipement d’occasion coûte entre 50 et 60% du neuf ». Des économies substantielles qui incitent un peu plus les professionnels à accroitre leur parc de machines pour améliorer leur productivité.

Mascus.fr : faciliter l’investissement pour les agriculteurs et les industriels

Plus qu’une nouvelle opportunité, le marché des machines industrielles d’occasion est une véritable incitation à l’investissement pour les professionnels qui ne peuvent pas envisager des acquisitions neuves dans une conjoncture compliquée.

Selon une enquête menée par le magazine Challenges (et que vous pouvez consulter ici dans son intégralité), « les revenus de nombreux agriculteurs sont en baisse depuis plusieurs années, ajoutés à un endettement important ». Pour croître et améliorer leur productivité, les agriculteurs peuvent ainsi compter sur des places de marché qui mettent en relation les vendeurs (généralement d’autres professionnels) et les acheteurs, sans commission. C’est ce que propose Mascus, une plateforme inspirée des sites des petites annonces qui totalise plusieurs centaines de milliers d’offres avec :

Plus qu’une nouvelle opportunité, le marché des machines industrielles d’occasion est une véritable incitation à l’investissement pour les professionnels qui ne peuvent pas envisager des acquisitions neuves dans une conjoncture compliquée. Selon une enquête menée par le magazine Challenges (et que vous pouvez consulter ici dans son intégralité), « les revenus de nombreux agriculteurs sont en baisse depuis plusieurs années, ajoutés à un endettement important ». Pour croître et améliorer leur productivité, les agriculteurs peuvent ainsi compter sur des places de marché qui mettent en relation les vendeurs (généralement d’autres professionnels) et les acheteurs, sans commission. C’est ce que propose Mascus, une plateforme inspirée des sites des petites annonces qui totalise plusieurs centaines de milliers d’offres avec :

  • Du matériel pour les travaux publics : grues, nacelles élévatrices, chargeuses, pelles, concasseurs, matériel de carrière, machines de recyclage… ;
  • Du matériel agricole : des tracteurs, du matériel de fenaison, des outils de préparation du sol, des moissonneuses batteuses, du matériel d’épandage, etc. ;
  • Du matériel de transport : des camions, des fourgons, des véhicules utilitaires, des tracteurs routiers, des remorques et semi-remorques ;
  • Du matériel de manutention : des chariots élévateurs, à mât rétractable et de magasinage, des gerbeurs, des transpalettes, des conteneurs et autres équipements portuaires ;
  • Du matériel de création et d’entretien des espaces verts : des tondeuses, des balayeuses, des auto-laveuses, des microtracteurs, des équipements de gazon professionnel, des mini-utilitaires ;
  • Du matériel forestier : des stations de transformation du bois, du matériel de ponçage et de recyclage, des abatteuses, des porteurs, des débusqueurs…

Mascus.fr peut compter sur une énorme base d’acheteurs et de vendeurs, ce qui garantit des transactions rapides et des annonces très régulières. Le site propose un puissant filtre de recherche pour parcourir les offres en fonction des catégories, des marques, de l’ancienneté, du pays d’origine, de l’état (bon état, accidenté ou vente pour pièces), des photos, des prix, de la date de publication, etc. Si les professionnels ne trouvent pas leur dévolu sur les annonces, ils peuvent toujours passer un appel d’offre et mettre les fournisseurs en concurrence.

Acheter une machine industrielle d’occasion : les bonnes pratiques

Pour profiter pleinement des avantages de l’acquisition d’une machine industrielle d’occasion et rentabiliser son investissement en toute sérénité, il s’agira de suivre quelques règles de bon sens. En voici une synthèse :

  • Définir un cahier des charges synthétisant les caractéristiques techniques de la machine industrielle souhaitée. Ce document doit décrire objectivement les besoins de l’entreprise. Il servira également de base pour filtrer les annonces et dresser une shortlist des machines industrielles d’occasion à envisager. Les caractéristiques techniques définies sur le cahier des charges doivent suivre le principe du « minimum requis » ;
  • Multiplier les canaux de recherche pour maximiser ses chances de trouver la bonne machine industrielle. Les pistes des revendeurs locaux, du réseau professionnel et des différents salons sont à creuser, mais c’est sur internet que vous aurez le plus grand choix. Des sites spécialisés comme Mascus proposent plusieurs centaines de milliers d’annonces avec du matériel agricole, de travaux publics, de manutention, de gestion des espaces verts et forestiers ainsi que des véhicules de transport. Mascus vous fait gagner du temps et de l’argent, puisque vous êtes en contact direct avec le vendeur. Un filtre vous permet de parcourir les annonces qui répondent précisément à votre cahier des charges, puisque vous pouvez filtrer les annonces par modèle, marque, catégorie, année d’immatriculation, etc.
  • Le choix du vendeur et l’accord sur les conditions de vente : si vous optez pour l’acquisition d’une machine industrielle sur internet, vous devez dans la mesure du possible constater son état avant d’envisager votre achat. Malheureusement, il n’est pas toujours possible de se rendre sur place. Dans ce cas, vous pouvez demander au vendeur des « preuves » attestant de la conformité et du bon état de la machine en question : certificats divers, vidéo de la machine en action, etc. Bien entendu, le risque « zéro » n’existe pas, mais les économies réalisées valent bien une prise de risque mesurée et raisonnable ;
  • Préparer la réception de la machine industrielle : il s’agit à ce stade d’aménager le lieu de travail, de veiller au respect des normes de sécurité, du test de la machine sur des échantillons, de la formation du personnel quant aux comportements à adopter en cas d’incident, etc. ;
  • Mettre en place l’échéancier des opérations de maintenance en se basant sur le carnet des interventions réalisées par le passé. Veillez à ce que le vendeur vous remette un carnet d’entretiens complets pour rentabiliser votre investissement.

En suivant ces bonnes pratiques qui relèvent finalement du bon sens, vous allez non seulement profiter de votre machine, mais aussi mieux la valoriser dans l’éventualité d’une revente ultérieure. Conseil de pro : plus le nombre de « participants » au cycle de vie d’une machine industrielle est important, plus la valeur d’une documentation sur la traçabilité et l’entretien du bien croît.